La puissance à retardement de la violence des mots de ma mère.
Je suis par moments "enfermée" dans le contre-coup de cet évènement-là, ça produit une souffrance à la limite de l'ingérable... Pour quelle raison cette violence me saute-t-elle en pleine face plus d'un an après ?
Dans ces moments de reviviscence plus rien d'autre n'existe que la souffrance à l'état brut, je ne ressens que cela, plus rien d'autre ne me touche; je ne pense qu'à ça, ma vie quotidienne se limite aux ruminations sur cet évènement et ses effets actuels sur mon état général.
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